De la nuit du 26 au 27 novembre, tempête de rêves sur le Navire-night. Beaucoup de violence – une tentative d’étranglement - mais des êtres anonymes autours de moi pour me sauver. Il y a cette façon d’être tantôt « à l’intérieur » du rêve, tantôt « à l’extérieur ». Vers la fin de la nuit, j’étais témoin d’une amie voyant des roses rouges sous des plaques d’égout.
Et quand le réveil a sonné et que j’ai ouvert les yeux, une phrase était là, écrite. Pour être exacte, je dirais qu’il s’agissait davantage d’une parole comme une réplique de film de la part d’une voix off à la Duras, ou la parole d’un narrateur omniscient dans un roman. J’ai tout de suite noté dans mon Journal ce que je pouvais lire en moi avant que cela ne s’efface :
« Pour lui dire « C’est toi que j’aime », elle lui disait « C’est toi la musique ». »
Armand Gatti me surnommait : "La Musique."
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