L’enfant ce matin a construit une porte pour voir la mer. Il manquait simplement la vue… Nous l’avons trouvée, pleine de vagues et de bateaux, dans une couverture qu’il suffisait de tenir à la verticale pendant que l’autre regardait à travers la porte style portail traditionnel japonais faite avec des legos et un grand soin. Depuis hier, le chauffage a été allumé au bateau. Il faut dire que l’hiver se précise. Il a neigé sur le toit cette semaine. Aujourd’hui, j’ai acheté un chapeau en vison. Le café brûlant est en hausse de consommation sur le navire.
Vol d’oiseaux sur assiette je prends – en haut le vent, en bas le lac le vent souffle sur le lac, et le lac accueille le vent . La petite fumée papillon de la bougie se dissipant – sortie du tombeau, Printemps. Tu es là, avec et dans la fleur, blanche, double. L’horloge arrête enfin le temps-espace présent, je t’écris dans l’agenda perpétuel des fleurs. Ecritures, encore écritures - traits pleins, séparés, en dedans, en dehors de nous, volants sur - assiettes, papiers, ciel Suis-je dépaysée ? Non, Le lac est ouverture, le vent pénétration . En compagnie des oiseaux, des roses et des papillons sur les boites d’allumettes, déjà, le soir vient comme tu viendrais en moi si-, fleur blanche et double, presque fanée – si tôt. Je devine la musique que tu écoutes et les couleurs que tu choisis, j’entends des chants d’oiseaux sur des coups de marteaux. Des fleurs coupées dans leur verre d’eau se referment avec la nuit qui vient comme tu viendrais si –. Le noir fait peu à peu di
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