Juste avant le couloir où se trouve le phare, dans la pièce où je dors, j’ai accroché au mur un dessin carte postale en noir et blanc d’une allée circulaire avec des colonnes dans une crypte. Cela crée un effet d’optique pour l’imaginaire où pendant cinq secondes, on peut s’imaginer en prière dans les sous-sols d’une église tout en étant contre vents et marrées des profondeurs de la vie intérieure éclairé par les lumières colorées et éblouissantes du phare. Tout cela, grâce à une seule image – agissant comme un miroir agrandissant l’espace de la conscience.
À ma fenêtre, le ciel, sans le reste. Écume d’écriture au réveil, sans le reste du jour. Première heure : Ciel. À chaque fois que je reprends mon souffle, les couleurs ont changées. J’entre dans le jour calmement avec le rapide changement de la lumière. Le soleil perce. À ma fenêtre, la percée. Toute seule, toute pure, sans le reste. La percée nue comme moi-même dans mon rêve chez le libraire : Je cherchais un livre et je trouvais « Fenêtres ». C’est mon livre-mon ciel pour moi toute seule et pour vous tout seul qui lisez. suite sur Instagram #sachasteurer
Miroir agrandissant l’espace de la conscience.
RépondreSupprimerMiroir agrandissant l’espace de la conscience.
RépondreSupprimer